Voyages littéraires
Préparer ses bagages – un livre, un crayon, un calepin, s’installer sur son moyen de transport, de préférence un rocking chair, laisser la musique d’ambiance se diffuser comme un parfum dans la pièce, allumer la lampe de chevet… et partir dans les mots, les intrigues, les personnages, leurs vies, leurs amours, leurs détours…
« Un amour pour rien »
- Jean d'Ormesson -
« La passion tend à se perpétuer. Elle se jette dans l’avenir avec avidité. Malheureuse, elle s’offre des bonheurs futurs que le présent lui refuse, elle redoute les angoisses dont elle a expérience ».
L’histoire d’un amour vain, animé par une passion caduque entre Philippe et Béatrice, racontée par l’élégante plume de Jean d’Ormesson. Un voyage dans la promesse du plaisir.
« La vie est un roman »
- Guillaume Musso -
Avec Guillaume Musso, un roman est un roman est un roman est un roman…bien plus qu’un trompe-d’œil, un vrai labyrinthe où réalité et fantaisie se busculent.
Flora Conaway est écrivaine à New York. Romain Ozorski l’est aussi, mais à Paris. Ils se connaissent mais ne se sont jamais rencontrés. C’est la disparition de la fille de Flora, Carrie, qui donnera lieu à cette encontre par un acheminement époustouflant à travers la littérature et le métier d’écrivain.
Une escapade littéraire à l’intrigue en gigogne.
« Bed Bug »
- Katherine Pancol - (08/04/2020)
Bed bug ou de l’amour court-circuité ! On ne regarde plus les insectes du même œil après cette histoire hilarante à propos de la nature humaine…et non ! Découvrez le monde humain en voyageant par un microscope de laboratoire, et les vies de Rose et Léo.
« L’enfer est pavé de bonnes intentions »
- Lauren Weisberger - (08/04/2020)
Après une danse vertigineuse sur le précipice creusé par la soif du bonheur idéal avec Danser au bord de l’abîme, il est temps d’aller à l’enfer ! C’est l’heure de se mettre sur son trente-un car #LeDiableS’HabilleEnPrada grâce à Lauren Weisberger.
Histoire semi-sérieuse de trois femmes qui voyagent à travers leurs vies avec brio. Lecture rafraîchissante pour un moment de détente en plein confinement.
« L’abîme et le vertige »
- Grégoire Delacourt - (05/04/2020)
"Maman, que lis-tu ?"
Je lui montre la couverture, elle absorbe le titre et puis son regard trébuche sur un mot. Abîme.
C’est un creux immense et vide, à la profondeur inconnue, lui explique-je. Le titre veut dire que parfois, il y en a qui dansent à la lisière d’une bouche béante et immensément profonde, comme celle des volcans…
À ces mots, ses yeux pétillent transitant de la stupeur à l’excitation, puis à la peur.
"Maman, alors, vaut mieux ne pas avoir le vertige."
C’est justement ça ; la trajectoire de l’amour entre l’envol de l’espoir et du rêve, et l’atterrissage dans la profondeur cachée du quotidien.